الأربعاء، 19 فبراير 2014

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ resume par chapitre

LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ
Chapitre 1 : le condamné compare son présent à son passé [qui foisonne d'idées] pour mettre en valeur le caractère obsessionnel de l'idée de  mourir sur la guillotine.
Chapitre 2 : il s'agit d'un flash back [6 semaines auparavant] dans lequel le condamné se rappelle le jour de son procès et toute l'agitation des personnes présentes [juges, procureurs, avocats, témoins, foule …].
Il fait aussi état de l'effet du verdict fatal sur son état d'âme [comme un coup de massue] et sur le public qui jouit à l'avance du spectacle de son exécution.
Chapitre 3 : le condamné semble se résigner: sa situation, d'après ses lectures, n'est pas différente  de celle des autres… tout le monde est condamné à mourir un jour ou l'autre.
Les mort est présentée aussi comme une délivrance : plus de pain noir, plus de cachot, plus de galériens, plus de garde-chiourme…
Chapitre 4: le condamné est transféré à Bicêtre qui est une prison. Autrefois c'était un hôpital qui accueillait les soldats infirmes.
Chapitre 5:    le condamné doit attendre 6 ou 7 semaines avant d'être exécuté.
"Les égards d'un guichetier sentent l'échafaud" signifie   que s'il est traité avec une politesse et une distinction inhabituelles c'est surtout parce qu'il est condamné à mort.
Dans sa prison, il entend les détenus parler argot, un langage populaire, voire vulgaire.
Chapitre 6: le condamné présente les raisons qui le poussent à écrire un journal de ses souffrances. On y retrouve tous les enjeux de l'écriture : Quoi écrire, à qui écrire, dans quel but écrire …?
Il y décrit ses angoisses, ses terreurs, sa torture morale.
Chapitre 7 : le condamné remet en question l'idée d'écrire parce qu'il n'y voit pas d'intérêt : il ne voit pas l'intérêt de sauver des têtes du moment que la sienne tombe. Cette hésitation à écrire est due au désespoir de ne plus jouir du soleil, des champs, des printemps, des fleurs … de la nature et de la liberté.
Chapitre 8: la cassation est un recours extraordinaire formé devant la cour de cassation pour annuler un jugement non susceptible d'appel…
Après avoir fait le compte  de tout le temps que prend la procédure du pourvoi en cassation, le condamné s’aperçoit qu’il ne lui reste qu’une journée à vivre.
Chapitre 9: la famille du condamné est constitué de trois femmes: sa mère de 64 ans qui ne survivra pas après la mort de son fils, sa femme qui mourra sûrement elle aussi car elle a déjà une mauvaise santé et un esprit faible, et sa fille de trois ans qui finira par rester toute seule, par être une pauvre petite orpheline.
 Chapitre 10: le cachot du condamné est une petite cellule de deux mètres carrés entourés de 4 murailles de pierres de tailles. A travers de sa petite lucarne de sa prison, le condamné voit les deux yeux fixes et ouverts d'un factionnaire de garde.
Chapitre 11: sur le mur de son cachot, il voir des écritures, des dessins, des figures bizarres, des noms d'autres condamnés écrits avec du sang, un crayon ou de la craie.
Le dessin qui l’a bouleversé est celui de l'échafaud crayonné en blanc au coin du mur.
Chapitre 12 : Dautin a coupé son frère en deux.
  Poulain a assassiné sa femme.
  Jean Martin a tiré un cou de pistolet sur son père.
  Casting a empoisonné son ami.
  Papavoine tuait les enfants à coups de couteau sur la tête.
Chapitre 13: le condamné assiste au ferrement des forçats. Il s'agit d'enchaîner les prisonniers condamnés aux travaux forcés pour les emmener aux galères
Au début ils sont gais, joyeux, excités, mais quand la pluie commence à tomber, leur excitation tombe aussi… et ils deviennent tristes, refroidis parce qu'ils se rendent compte que leur situation est très pénible. Quand il voit le condamner il lui crient tous bonjour, et lui adressent des paroles cordiales (avec gentillesse). Se sentant devenir la cible de tous les regards, il veut fuir mais ne le peut pas ; il s’évanouit.
Chapitre 14: le condamné se trouve à l'infirmerie, il est réveillé par le départ des forçats. Ce spectacle qu'il voit lui rend sa situation de condamné à mort préférable à celle de ces galériens.
Chapitre 15: le condamné souhaite sa grâce mais il ne pense pas l'obtenir parce que son pourvoi sera rejeté car son procès était en règle ; et puis il faut qu'il donne l'exemple.
Chapitre 16: le condamné a entendu, quand il était à l'infirmerie, la voix douce et fraîche d'une jeune fille de 15 ans qui chantait une chanson en argot, laquelle raconte l'histoire d'un homme qui en a tué un autre, qui a été arrêté et allait être pendu. Il était à la fois glacé et caressé : glacé par les paroles et caressé par la voix. Mais surtout il est navré, glacé, anéanti de constater que la prison pervertit tout, salit tout, flétrit tout…
Chapitre 17: chaque fois qu'il rêve de son évasion, le condamné se trace un itinéraire qui le fait arriver à LongJumeau en passant par Arcueil ; et chaque fois qu'il arrive à destination, il tombe entre les mains des gendarmes.
Chapitre 18: le guichetier de garde entre dans le cachot du condamné, et lui parle avec une politesse excessive ce qui le fait douter que c'est son dernier jour…
Chapitre 19 : le directeur de la prison arrive à son tour. Il se montre doux et gentil, il a même appelé le condamné : Monsieur. Tous ses égards le persuadent que c'est effectivement  le jour de son exécution.
Chapitre 20 : le condamné présente la prison comme un mélange de béton, de bois, et de chair humaine, c'est un tout indivisible [murs, portes, gardiens] qui enferme, cadenasse  et surveille.
Chapitre 21: un prêtre vient rendre visite au condamné à 6h30 du matin pour le préparer à vivre ses dernières heures. Quand il lui demande s’il est préparé, il veut savoir si le condamné est prêt à mourir. Le condamné répond qu’il ne l’est pas. Un autre visiteur arrive : il s’agit d’un huissier de Paris, qui vient l’informer que son pourvoi a été rejeté, qu’il sera exécuté le jour même en place de Grève et qu’il part pour la conciergerie à 7h30 précises.
Chapitre 22 : le condamné est transféré de Bicêtre à la conciergerie. Il devient à son tour un spectacle pour les curieux qui viennent de voir transféré; sur son passage les passants s'arrêtent pour regarder la voiture, et les enfants courent sur ses traces.
Chapitre 23 : dans la conciergerie , le condamné rencontre le friauche , un autre condamné à mort qui va être transféré à Bicêtre le jour même et qui sera exécuté dans 6 semaines.
Le friauche raconte sa vie au condamné, comment, dès l'âge de 9 ans, il a plongé dans le monde du crime. Son jugement est très court vu le nombre de crimes et de meurtres qu'il a commis. Avant d'être emmené, il a échangé sa veste avec le condamné.
Chapitre 24 : le condamné est en colère contre ce friauche qui lui a pris sa redingote et aurait voulu l'étrangler de ses mains.
Chapitre 25 : le condamné est transféré dans une cellule e, à sa demande, ils lui ont apporté une table, une chaise , un lit et de quoi écrire. Un gendarme ne le quitte plus.
Chapitre 26 le condamné reproche aux jurés de l'avoir condamné à mort, de le tuer de sang froid, en cérémonie, de priver un père de sa fille et une fille de son père.
Chapitre 27 : le condamné est obsédé par la guillotine, il essaie d'imaginer comment on l’utilise, et cela le terroriste
Chapitre 28: encore un flashback, le condamné se rappelle avoir entrevu la guillotine, une espèce d'estrade en bois rouge.
Chapitre 29 : le condamné se révolte contre la peine de mort et préfère mille fois les travaux forcés même avec à perpétuité et avec le fer rouge.
Chapitre 30: le prêtre est quelqu'un de doux et de très charitable. Il se comporte avec charité, avec les prisonniers et même avec le condamné qui se sent réconforté. Mais la conversation qu'ils ont fait croire au prêtre que le condamné est un impie et fait croire au condamné que le prêtre a révisé sa leçon avant de venir le voir et que la situation dans laquelle il se trouve le laisse indifférent.
Chapitre 31: une espèce d'architecte arrive et prend les mesures de la cellule, il informe le condamné que la prison sera bientôt restaurée.
Chapitre 32: le gendarme qui garde le condamné est remplacé par un autre stupide et crédule. Le condamné lui a promis de lui donner quatre numéros gagnants de la loterie à condition qu'ils échangent leurs vêtements. Mais le gendarme refuse car si le condamné ne meurt pas, il ne pourra pas lui donner les bons numéros.
Chapitre 33: Pépa est la petite espagnole avec qui il jouait et causait et avec qui il a grandi et c'est la jeune fille qu'il aimait tendrement.
Chapitre 34: le condamné en revoyant son crime veut se repentir, mais sa condamnation à mort et son exécution l'empêchent de penser à autre chose qu'au meurtre et la mort.
Chapitre 35: le condamné s'imagine les hommes libres causer, rire, lire le journal… Ils sont vivants et libres.
Chapitre 36: le condamné se rappelle encore une fois son enfance, il se revoie tout en haut de la cathédrale de Notre Dame .Il a faillit tomber à cause du bruit de la cloche …
Chapitre 37: l'hôtel de ville se caractérise essentiellement par son aspect sinistre, sombre, lugubre. Il est vieux et noir.
Chapitre 38: Il reste 2 heures et 45 minutes à vivre au condamné. Il a soudain mal un peu partout. Les douleurs physiques reflètent les douleurs morales. Mais il sait que dans 2 heures et 45 minutes exactement il sera guéri de toutes ces douleurs.
Chapitre 39: S'il est vrai que le condamné ne souffre pas au moment même où on lui coupe la tête, comment doit-on qualifier les six semaines d'agonie et le râle de tous les jours? Ceux qui condamnent, la société, doivent savoir que les souffrances de la mort commencent au moment même où la sentence est prononcée.
Chapitre 40: Le condamné pense sans cesse au roi car il est la seule et unique personne capable de lui faire don de la vie. Il n’a qu’à prendre une plume et signer son arrêt de vie.
Chapitre 41: Le condamné pense se retrouver en enfer qu'il s'imagine être un gouffre hideux, profond aux parois tapissées de ténèbres dans lequel il tombera éternellement, il se l'imagine aussi sous différentes formes toutes aussi repoussantes les unes que les autres. Après sa mort, le condamné pense assister, accompagné des autres condamnés qui ont été exécutés, au spectacle du bourreau guillotiné par un démon de l’enfer.
"Que devient l'âme après la mort?», telle est la question fondamentale qu’il finit par se poser.
Chapitre 42: le condamné rêve d'une vieille dame venue de nulle part, sans vie, elle l'a mordu. .cette dame symbolise sûrement la mort qui vient marquer sa prochaine victime. Il se réveille en sursaut et trouve le prêtre assis au pied de son lit en train de prier, ce dernier l'informe que sa fille est venue le voir et qu'elle l'attend dans la pièce voisine.
Chapitre 43: le condamné rencontre sa petite Marie, il l'a prend dans ses bras mais elle ne le reconnaît pas car on lui a dit que son papa était mort. Ce qui met le condamné au comble du désespoir, c'est qu'elle tient entre les mains son arrêt de mort.
Chapitre 44: le condamné a une heure pour s'habituer à la mort qui l'attend et à la foule qui vient voir le spectacle de son exécution.
Chapitre 45: le condamné s'imagine ce peuple qui vient le voir, rire de plaisir. Il se dit que parmi cette foule, nombreux sont ceux qui viendront voir leurs têtes tomber sur l'échafaud.
Chapitre 46: le condamné demande s'il lui reste encore le temps d'écrire quelques petites pages pour sa petite fille pour qu'elle puisse le pleurer. Il veut lui raconter son histoire et pourquoi il est condamné à mort et lui, expliquer pourquoi le nom qu’elle porte est sanglant.
Chapitre 47: Il s'agit d'une note de l'éditeur qui informe que le condamné n'a pas eu le temps d'écrire son histoire ou que les feuilles qu’il a écrites ont été peut-être perdues.
Chapitre 48: le bourreau et deux de ses valets viennent faire la toilette du condamné: Ils lui coupent les cheveux, le col de sa chemise ; et ils lui attachent les mains derrières le dos, ensuite il a été transféré dans une chambre de l'hôtel  de ville.
Chapitre 49: le condamné au comble du désespoir demande sa grâce au premier venu. Il veut absolument qu'on lui laisse cinq minutes encore, puis une minute dans l'espoir qu'un miracle se produise, mais il est quatre heures, on vient le chercher.
 
 

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