الثلاثاء، 25 مارس 2014

LES PLAQUES OFFSET Une plaque offset est constituée en principe d’un support et d’une couche photosensible. I- ORIGINE DE LA PLAQUE L’origine de la plaque offset est la pierre de lithographique (Pierre de Bavière) découvert par Senefelder en 18°siècle, elle a la capacité de retenir l’eau, l’application d’une solution de gomme et d’acide nitrique accentue chimiquement cette tendance. La solution de mouillage s’enfouit dans les porosités superficielles où elle se combine avec le calcaire pour y former un sel hydrophile, par contre l’encre grasse déposée pour constituer les graphismes à imprimer bouche les microporosités et adhère solidement à la surface de la pierre. En 1860, il y a eu naissance de la plaque monométallique d’un seul métal : le zinc. Ensuite il y a l’apparition de la plaque poly-métallique. Aujourd’hui c’est l’aluminium le plus employé, pour sa légèreté, sa moindre sensibilité en présence d’humidité à l’oxydation, et pour son prix de revient. L’aluminium fût découvert en 1824, sa matière première est la bauxite qui était découverte dans le village des Baux en Provence (RHONE : fleuve du Suisse en France). II- LES DIFFERENTS TYPES DE PLAQUES 1. les plaques conventionnelles La plaque offset ne présente ni creux ni relief, sa surface est plane il existe plusieurs types de plaques mais chacune d’elle présente deux états de surface de nature fondamentalement opposé : o Une zone imprimante qui doit accepter l’encre grasse et refuser l’eau o Une zone non imprimante qui doit être hydrophile et refuser l’encre 1-Les supports des plaques conventionnelles a- les plaques monométalliques : A l’origine de l’offset on utilisait des plaques de zinc, mais à cause des problèmes de rentabilité et de qualité, ces plaques ne sont plus utilisées. De nos jours les métaux les plus employés sont : l’aluminium , le chrome et l’acier parce qu’ils présentent des propriétés hydrophiles, mais l’aluminium reste le métal le plus utilisé, c’est un métal léger, plus hydrophile, résiste à l’oxydation, s’allonge moins sous l’influence de la température. b- les plaques polymétalliques : Plus coûteuses et plus résistantes à la machine que les plaques en aluminium, elles permettent de très longs tirages (de 1 à 2 million), elles se composent de plusieurs métaux : *les plaques bimétalliques : *les plaques trimétalliques : *les plaques quadrimétalliques : 2- Traitement du support des plaques Le caractère hydrophile de la plaque résulte de son traitement de surface, la meilleure surface hydrophile sera celle qui refusera l’encre avec un minimum d’eau. C’est donc la capacité de rétention d’eau qui va différencier la plaque, cette rétention d’eau dépend du type et de la profondeur du grainage, de sa rugosité et du type d’oxyde de surface (oxyde d’aluminium ou de chrome). Plaque lisse plaque grainée Le rôle de la rugosité : • Plus une plaque présente une irrégularité de crête et de creux de son dépolissage, meilleure est son aptitude hydrophile, • Plus la rugosité est accentuée, plus une plaque sera hydrophile, • Une plaque ne peut pas retenir plus d’eau que ne lui autorise sa microporosité de surface. a- le grainage : l’aluminium n’est pas hydrophile par nature, on présence d’encre et d’eau, il accepte aisément l’encre, mais comme le zinc ne se laisse pas mouiller facilement par l’eau, d’où la nécessité d’un grainage, il crée à l’échelle du micron, une multitude de cavités superficielles qui augmente la capacité de retenir l’eau, indispensable pour repousser la graisse et aussi il fixe la couche photosensible qui formera les zones imprimante, le critère de résistance d’une plaque dépend essentiellement de la qualité du grainage qu’elles aura subit. Il existe plusieurs types de grainage : * Grainage mécanique par brossage à sec : Il est réalisé sous l’action de brosse animées d’un mouvement oscillant afin d’éviter l’orientation directionnelle des microcavités dont l’alignement serait nuisible à une bonne mouillabilité. Avantages : • structure peu poreuse avec faible exigence en eau d’où finesse de reproduction • Facilité de copie • Rapidité de l’équilibre eau/encre Inconvénients : • Tirage limité à 500000 exemplaires *Grainage chimique à brosse : Il est réalisé par des brosses en nylon et une solution liquide de poudre de ponce ou de quartz. Avantages : • Excellente adhérence de la couche et bonne qualité hydrophile • Très bonne qualité de reproduction • Rétention particulièrement favorable (- d’eau) • Equilibre eau/encre facile d’où démarrage rapide Inconvénients : • La qualité du grainage est inférieure parce que la solution acide n’agit pas uniformément sur toute la surface, les produits chimiques formés pendant la réaction chimique affaiblissent la dureté et la résistance superficielle. • Ces plaques sont recommandées pour les tirages moyens. • Difficulté d’élimination de la couche photosensible au développement. * Grainage électrochimique (électrolyse) : La plaque passe dans un bain acide traverser par un courent alternatif élevé qu fait naître à sa surface une structure finement poreuse qui permet à la couche sensible de mieux adhérer au support. Suivant les techniques d’éléctro-grainage qui varient d’un fabricant à l’autre, il en résulte des formes de porosités différentes avec des variations de film d’eau oscillant entre 4.5 et 10 micron. Cette méthode de grainage s’applique pour des plaques de haute qualité et est de plus en plus exigée car leur fiabilité est la condition du maintien de la qualité d’impression à moindre coût. Ces plaques peuvent dépasser un million d’exemplaires, le grainage électrolytique permet le report des trames de grande finesse (trame de 300). b- Plaques anodisées L’anodisation consiste à faire naître à la surface de l’aluminium une couche d’oxyde plus résistante à l’usure à la machine et s’oxyde moins vite, elle fait donc durcir l’aluminium, ces plaques ont une grande réceptivité à l’eau et résistent mieux au graissage. La couche tient mieux au support. c- Plaques litho chromées Les cavités de l’aluminium sont remplacées par un dépôt électrochimique de chrome, la surface sera plus fine et plus hydrophile puisque le chrome est un métal naturellement hydrophile. La surface du chrome retient deux fois moins d’eau que la plaque aluminium Avantages : • Surface lisse d’où extrême qualité de reproduction • Faible rétention d’eau donnant un excellent eau/encre • Stabilité sur le long de tirages • Bonne résistance à l’usure et insensibilité au révélateurs, et autres produits chimiques utilisés en impression • Longs tirage, haute qualité, haute vitesse de production • Elles autorisent l’impression sur le métal et les différents supports non absorbants Inconvénients : • Temps d’exposition plus longs • Sensibilité aux rayures • Coût élevé. 3- Les couches photosensibles des plaques 1. Les couches diazoïques : Les composants diazoïques sont des substances organiques complexes dont le caractère commun est une molécule deux atomes d’azote N2, ils présentent la propriété d’être décomposés par la lumière. - Les composants diazoïques exposés à la lumière deviennent solubles en solution de développement donnant ainsi les zones hydrophiles, les zones non insolés sont insolubles et oléophiles (montage positif). 2. Les photopolymères : Les photopolymères sont des substances organiques synthétiques subissant une transformation moléculaire par insolation et deviennent insolubles, le révélateur dissout les parties non insolés mettant ainsi le métal à nu. Insolation Développement Les photopolymères présentent beaucoup d’avantages : 1. Elles sont surtout déstinés aux rotatives pour imprimer de longs tirages (1 million) 2. Elles sont très résistantes à l’usure 3. Elles donnent une qualité de reproduction pour les originaux au trait ou tramés 4. Elles sont peu sensibles à la chaleur et à l’humidité. c- Les plaques positives Une plaque est dite positive lorsqu’elle est insolée sous un positif, sa couche est un mélange de résines photosensibles, de composés diazoïques et de colorants. En termes de qualité la plaque positive peut être choisie selon les critères suivants : • Rapidité de copie • Court temps d’exposition • Haut pouvoir de résolution • Bonne contraste après exposition • Haute qualité • Facilité de développement dans différents révélateurs • Elles présentent environ 80% des plaques utilisées. d- Les plaques négatives Une plaque est dite négative lorsqu’elle est insolée sous un négatif, sa couche est composée des photopolymères. Ce types de plaque est destinée en général aux travaux monochromes et surtout pour l’impression des journaux. 4- Les critères de choix d’une plaque Pour faire un choix objectif d’une plaque, il faut tenir compte de certains paramètres : 1. Résistance moyenne au nombre de tirage ; 2. Nature de support ; Nature de couche ; 3. Plaque positive ou négative; 4. Insolation : type de lumière, temps de pose ; 5. Traitement : nature de produit ; 6. Capacité de retenir l’eau ; 7. Capacité de reproductibilité (linéature de trame copiable) ; 8. Conservation avant l’utilisation ; Conservation après l’utilisation ; 9. Prix de reviens. 2. Les plaques pour offset sans mouillage ou "Waterless Le procédé "Waterless" ou procédé offset sans mouillage est le nom donné au procédé d'impression qui utilise une presse offset sans système de mouillage. Le procédé "Waterless" dérive de l'offset conventionnel dans la mesure où il utilise une plaque et un blanchet, comme son nom l'indique, permet d'éliminer la solution de mouillage utilisée en impression offset conventionnel. Il nécessite une plaque spéciale sur laquelle un matériau solide, la couche de silicone, assure la répulsion de l'encre grâce à ses caractéristiques physico-chimiques. Après insolation et développement les zones imprimantes sont très légèrement en creux et l'encre n'est pas émulsionnée. La reproduction de détails très fins, et en particulier l'impression de trames très fines, sont donc rendues possible.




LES PLAQUES OFFSET

Une plaque offset est constituée en principe d’un support et d’une couche photosensible.

I- ORIGINE DE LA PLAQUE
L’origine de la plaque offset est la pierre de lithographique (Pierre de Bavière) découvert par Senefelder en 18°siècle, elle a la capacité de retenir l’eau, l’application d’une solution de gomme et d’acide nitrique accentue chimiquement cette tendance.
La solution de mouillage s’enfouit dans les porosités superficielles où elle se combine avec le calcaire pour y former un sel hydrophile, par contre l’encre grasse déposée pour constituer les graphismes à imprimer bouche les microporosités et adhère solidement à la surface de la pierre.
En 1860, il y a eu naissance de la plaque monométallique d’un seul métal : le zinc.
Ensuite il y a l’apparition de la plaque poly-métallique.
Aujourd’hui c’est l’aluminium le plus employé, pour sa légèreté, sa moindre sensibilité en présence d’humidité à l’oxydation, et pour son prix de revient. L’aluminium fût découvert en 1824, sa matière première est la bauxite qui était découverte dans le village des Baux en Provence (RHONE : fleuve du Suisse en France).

II- LES DIFFERENTS TYPES DE PLAQUES
  1. les plaques conventionnelles
La plaque offset ne présente ni creux ni relief, sa surface est plane il existe plusieurs types de plaques mais chacune d’elle présente deux états de surface de nature fondamentalement opposé :

    • Une zone imprimante qui doit accepter l’encre grasse et refuser l’eau
    • Une zone non imprimante qui doit être hydrophile et refuser l’encre

1-Les supports des plaques conventionnelles
a- les plaques monométalliques :
A l’origine de l’offset on utilisait des plaques de zinc, mais à cause des problèmes de rentabilité et de qualité, ces plaques ne sont plus utilisées.
De nos jours les métaux les plus employés sont : l’aluminium , le chrome et l’acier parce qu’ils présentent des propriétés hydrophiles, mais l’aluminium reste le métal le plus utilisé, c’est un métal léger, plus hydrophile, résiste à l’oxydation, s’allonge moins sous l’influence de la température.

b- les plaques polymétalliques :
Plus coûteuses et plus résistantes à la machine que les plaques en aluminium, elles permettent de très longs tirages (de 1 à 2 million), elles se composent de plusieurs métaux :
*les plaques bimétalliques :
*les plaques trimétalliques :
*les plaques quadrimétalliques :
2- Traitement du support des plaques
Le caractère hydrophile de la plaque résulte de son traitement de surface, la meilleure surface hydrophile sera celle qui refusera l’encre avec un minimum d’eau.
C’est donc la capacité de rétention d’eau qui va différencier la plaque, cette rétention d’eau dépend du type et de la profondeur du grainage, de sa rugosité et du type d’oxyde de surface (oxyde d’aluminium ou de chrome).
http://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gifhttp://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gifhttp://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gifhttp://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gifhttp://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gifhttp://dc443.4shared.com/doc/6WsqIiic/preview_html_6737056f.gif
Plaque lisse plaque grainée
Le rôle de la rugosité :
  • Plus une plaque présente une irrégularité de crête et de creux de son dépolissage, meilleure est son aptitude hydrophile,
  • Plus la rugosité est accentuée, plus une plaque sera hydrophile,
  • Une plaque ne peut pas retenir plus d’eau que ne lui autorise sa microporosité de surface.

a- le grainage :
l’aluminium n’est pas hydrophile par nature, on présence d’encre et d’eau, il accepte aisément l’encre, mais comme le zinc ne se laisse pas mouiller facilement par l’eau, d’où la nécessité d’un grainage, il crée à l’échelle du micron, une multitude de cavités superficielles qui augmente la capacité de retenir l’eau, indispensable pour repousser la graisse et aussi il fixe la couche photosensible qui formera les zones imprimante, le critère de résistance d’une plaque dépend essentiellement de la qualité du grainage qu’elles aura subit. Il existe plusieurs types de grainage :

* Grainage mécanique par brossage à sec :
Il est réalisé sous l’action de brosse animées d’un mouvement oscillant afin d’éviter l’orientation directionnelle des microcavités dont l’alignement serait nuisible à une bonne mouillabilité.
Avantages :
  • structure peu poreuse avec faible exigence en eau d’où finesse de reproduction
  • Facilité de copie
  • Rapidité de l’équilibre eau/encre
Inconvénients :
  • Tirage limité à 500000 exemplaires

*Grainage chimique à brosse :
Il est réalisé par des brosses en nylon et une solution liquide de poudre de ponce ou de quartz.

Avantages :
  • Excellente adhérence de la couche et bonne qualité hydrophile
  • Très bonne qualité de reproduction
  • Rétention particulièrement favorable (- d’eau)
  • Equilibre eau/encre facile d’où démarrage rapide

Inconvénients :
  • La qualité du grainage est inférieure parce que la solution acide n’agit pas uniformément sur toute la surface, les produits chimiques formés pendant la réaction chimique affaiblissent la dureté et la résistance superficielle.
  • Ces plaques sont recommandées pour les tirages moyens.
  • Difficulté d’élimination de la couche photosensible au développement.

* Grainage électrochimique (électrolyse) :
La plaque passe dans un bain acide traverser par un courent alternatif élevé qu fait naître à sa surface une structure finement poreuse qui permet à la couche sensible de mieux adhérer au support.
Suivant les techniques d’éléctro-grainage qui varient d’un fabricant à l’autre, il en résulte des formes de porosités différentes avec des variations de film d’eau oscillant entre 4.5 et 10 micron.
Cette méthode de grainage s’applique pour des plaques de haute qualité et est de plus en plus exigée car leur fiabilité est la condition du maintien de la qualité d’impression à moindre coût. Ces plaques peuvent dépasser un million d’exemplaires, le grainage électrolytique permet le report des trames de grande finesse (trame de 300).

b- Plaques anodisées
L’anodisation consiste à faire naître à la surface de l’aluminium une couche d’oxyde plus résistante à l’usure à la machine et s’oxyde moins vite, elle fait donc durcir l’aluminium, ces plaques ont une grande réceptivité à l’eau et résistent mieux au graissage. La couche tient mieux au support.

c- Plaques litho chromées
Les cavités de l’aluminium sont remplacées par un dépôt électrochimique de chrome, la surface sera plus fine et plus hydrophile puisque le chrome est un métal naturellement hydrophile. La surface du chrome retient deux fois moins d’eau que la plaque aluminium

Avantages :
  • Surface lisse d’où extrême qualité de reproduction
  • Faible rétention d’eau donnant un excellent eau/encre
  • Stabilité sur le long de tirages
  • Bonne résistance à l’usure et insensibilité au révélateurs, et autres produits chimiques utilisés en impression
  • Longs tirage, haute qualité, haute vitesse de production
  • Elles autorisent l’impression sur le métal et les différents supports non absorbants

Inconvénients :
  • Temps d’exposition plus longs
  • Sensibilité aux rayures
  • Coût élevé.

3- Les couches photosensibles des plaques 
        1. Les couches diazoïques :
Les composants diazoïques sont des substances organiques complexes dont le caractère commun est une molécule deux atomes d’azote N2, ils présentent la propriété d’être décomposés par la lumière.
- Les composants diazoïques exposés à la lumière deviennent solubles en solution de développement donnant ainsi les zones hydrophiles, les zones non insolés sont insolubles et oléophiles (montage positif).


        1. Les photopolymères :
Les photopolymères sont des substances organiques synthétiques subissant une transformation moléculaire par insolation et deviennent insolubles, le révélateur dissout les parties non insolés mettant ainsi le métal à nu.
Insolation Développement

Les photopolymères présentent beaucoup d’avantages :
    1. Elles sont surtout déstinés aux rotatives pour imprimer de longs tirages (1 million)
    2. Elles sont très résistantes à l’usure
    3. Elles donnent une qualité de reproduction pour les originaux au trait ou tramés
    4. Elles sont peu sensibles à la chaleur et à l’humidité.

c- Les plaques positives
Une plaque est dite positive lorsqu’elle est insolée sous un positif, sa couche est un mélange de résines photosensibles, de composés diazoïques et de colorants.
En termes de qualité la plaque positive peut être choisie selon les critères suivants :
  • Rapidité de copie
  • Court temps d’exposition
  • Haut pouvoir de résolution
  • Bonne contraste après exposition
  • Haute qualité
  • Facilité de développement dans différents révélateurs
  • Elles présentent environ 80% des plaques utilisées.
d- Les plaques négatives
Une plaque est dite négative lorsqu’elle est insolée sous un négatif, sa couche est composée des photopolymères.
Ce types de plaque est destinée en général aux travaux monochromes et surtout pour l’impression des journaux.
4- Les critères de choix d’une plaque
Pour faire un choix objectif d’une plaque, il faut tenir compte de certains paramètres :
  1. Résistance moyenne au nombre de tirage ;
  2. Nature de support ; Nature de couche ;
  3. Plaque positive ou négative;
  4. Insolation : type de lumière, temps de pose ;
  5. Traitement : nature de produit ;
  6. Capacité de retenir l’eau ;
  7. Capacité de reproductibilité (linéature de trame copiable) ;
  8. Conservation avant l’utilisation ; Conservation après l’utilisation ;
  9. Prix de reviens.
  1. Les plaques pour offset sans mouillage ou "Waterless

Le procédé "Waterless" ou procédé offset sans mouillage est le nom donné au procédé d'impression qui utilise une presse offset sans système de mouillage.   
Le procédé "Waterless" dérive de l'offset conventionnel dans la mesure où il utilise une plaque et un blanchet, comme son nom l'indique, permet d'éliminer la solution de mouillage utilisée en impression offset conventionnel. Il nécessite une plaque spéciale sur laquelle un matériau solide, la couche de silicone, assure la répulsion de l'encre grâce à ses caractéristiques physico-chimiques.

Après insolation et développement les zones imprimantes sont très légèrement en creux et l'encre n'est pas émulsionnée. La reproduction de détails très fins, et en particulier l'impression de trames très fines, sont donc rendues possible.

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